Vous y trouverez ici en annexe des listings bibliographiques de la classification par thème des commentaires précis et personnels sur les méthodes mises en œuvre et les résultats obtenus durant ces longues années de recherche (pas moins de 50 ans pour la CFAO et l’Int. Artificielle !).
Nous y retrouvons les 12 thèmes sélectionnés pour vous :
1 – La CFAO et l’intelligence artificielle
2 – Les Extensions de la CFAO
a – La CFAO, son histoire, ses configurations (workflow) et les relations cabinets/laboratoires
b – L’occlusion
c – Les Implants
d – Les matériaux
3 – La polymérisation
4 – Les tenons radiculaire
5 – La spectro-colorimétrie
6 – Le blanchiment et éclaircissement des dents
7 – La radiologie numérique
8 – Pathologie, infection virale et biochimie
9 – … Et diverses petites inventions
L’intelligence artificielle étant par principe le remplacement de certaines tâches par des logiciels dédiés (A. Turing) voir même des fonctions adaptables en elles-mêmes et dans le temps (système expert), la CFAO dentaire en est sans doute la première application médicale (1971) jamais mise au point et elle est à coup sûr l’un de ses plus beaux exemples.
On retrouve d’ailleurs cette définition dans mes articles n°52 et 61.
Il ne faut pas oublier qu’ils ont été écrits entre 1983 et 1985 alors que la définition même de l’intelligence artificielle était totalement inconnue du monde dentaire. C’est aussi la raison pour laquelle ce thème faisait partie de notre conférence de Chambéry en décembre 1985.
Ce thème de travail passionnant a accompagné toute ma vie de chercheur comme le montrent mes premiers écrits, il a commencé en 1973 avec ma thèse de 2e cycle et ceux qui sont publiés actuellement.
On peut subdiviser cette longue recherche en six périodes successives :
1.a – mes premiers écrits sur la CFAO dentaire de 1973 à 1982. Ce sont les textes qui ont été écrits avant mes brevets fondamentaux de 1980-1982 (j’ignorais à 20 ans le concept de brevets) .Ils correspondent à une époque de recherches et de vérifications expérimentales (à Lyon, à Tours puis à Strasbourg) et d’analyses théoriques (Lyon et Grenoble avec mon oncle Bernard). Le texte le plus important reste à mes yeux ma thèse de 2e cycle « Empreinte optique », document fondateur de la dentisterie numérique, commencée à Noël 1970, terminée durant le premier trimestre 1973 et déposée pour correction finale à l’école dentaire de Lyon le 25 juin 1973. (Pour plus de détail reportez-vous à la page Web de cette thèse « empreinte Optique »)
1.b – La deuxième période, ou « les années extraordinaires avec Hennson » (1983-1992). C’est la société Hennson internationale qui a construit la première « vraie » machine de CFAO dentaire au monde (SVP voir la video à Strasbourg en 1990), le Cerec n’étant qu’un kart rudimentaire de copie de cavité incapable de concevoir une surface n’existant pas comme l’est la surface occlusale. La mise au point du système Hennson fut un long travail qui rassemblait en 1990 plus de 50 ingénieurs. Dès 1984 cet appareil de CFAO dentaire réalisait déjà les couronnes et les inlays, puis vinrent les bridges, les braquets d’ODF et les coiffes (1988-1992) en occlusion statique puis dynamique (France puis USA 1986-1992). Cet incroyable aboutissement n’aurait jamais été possible sans certains responsables de haut rang comme Gilles Deschelette, Jean Louis Blouin, Jean Pierre Hennequin, mon ami américain Jean Claude Haas et tous mes amis dentistes ou scientifiques (Raymond, Fabienne, Jean Pierre, Charles, Omer et les autres ….).
De nombreux documents ont été écrits (plus de 10.000 pages sont à votre disposition chez moi), mais très peu ont été publiés. N’ayant que peu de temps libre à titre personnel et privilégiant une information régulière pour nos Confrères, nous avons choisi de diffuser les étapes de nos travaux à des journaux qui n’exigeaient pas trop d’exercice de style (CDF, ID ou tonus).
Une présentation « on live » nous paraissait plus importante et plus honnête que la satisfaction égoïste de publications dans une revue internationale. Certes il nous est arrivé de le faire (JADA …), mais ce fut toujours à leur demande. Ce qui nous semblait le plus important, compte tenu des doutes et de l’immense intérêt de nos confrères, était de faire des démonstrations partout où l’occasion nous était offerte. (voir la page « article de presse » ou la page « conférences« )
1.c – La troisième période, ou le temps Sopha CadCam, est très courte (1992-1994). Elle correspond à la « triste » société Sopha Bioconcept. Je n’ai pas de commentaire particulier à faire sinon de préciser que le Sopha CadCam, trop souvent mis en avant à tort, ne représente rien en termes d’innovation et il n’était qu’une pâle copie du système Hennson
Durant la deuxième et la troisième période, de 1986 à 1994, ont été réalisés avec le système Hennson puis le Sopha CadCam plus de 10.000 éléments prothétiques, en Europe et aux USA chez les dentistes, dans les laboratoires utilisateurs ou au sein de la société Hennson/Sopha en France et aux USA. 62 appareils ont été vendus (sur les 80 produits) Et j’ai moi-même réalisé en moyenne plus de 4 couronnes par jour, pour partie sur des modèles de contrôle, dans mon laboratoire français puis celui de USC (University of Southern California). Cela m’a permis d’étudier la précision du système et de connecter mon articulateur digital « Access Articulator » afin de modéliser en dynamique les surfaces occlusales en concept gnathologiste et fonctionnaliste.
1.d – La 4e Période américano-japonaise correspond au « temps USC-NDU-GC » (1994-2003). Ce fut une période très riche et formatrice aux côtés de mon ami Akira Kikuchi, remarquable ingénieur de GC, disparu hélas trop tôt. C’est de cette période, de mon travail à l’University Southern California (10 ans) puis à la Nipponne Dental University (4 ans) qu’est sorti mon troisième système de CFAO dentaire ou « GN1 » développé en collaboration avec Nikon et Hitachi, sous la tutelle très professionnelle de GC dirigée par un Président bienveillant : Mr Nakao.
1.e – La cinquième période, ou période du passage aux « techniques sans lumière structurée ». (2003-2009) fut une période de « maturation ». Elle est marquée par mon analyse des concepts théoriques de la CFAO et, sur la base de mon passé, par une recherche de son évolution dans le futur. Elle est ponctuée chaque année par plusieurs publications à caractère fondamental ou analytique.
1.f – Enfin arrive la sixième période « ou période Condor ». (2010-2021). Cette période n’est pas encore terminée, car elle correspond à la mise au point du premier scanner (IOS) et au premier porte empreinte (IOT) sans lumière structurée. C’est une véritable révolution et de la même manière que j’avais développé le premier IOS dentaire (1983-1985) à lumière structurée dite de « première génération », j’ai lancé le premier IOS stéréoscopique sans lumière structurée de « deuxième génération ». Nous l’avons appelé Condor et la peur qu’il suscita explique les tentatives permanentes de déstabilisation dont il fut la victime. De fait s’il ne rencontra pas le succès escompté dans un monde dentaire numérique devenu très compétitif il ouvrit la porte à l’aboutissement final de la numérisation dentaire : le porte empreinte optico numérique tant attendu. Ceci occupe ma période actuelle de travail pratique et théorique au sein de la société Invis’art …. à 75 ans (en 2022) …
J’ai développé de nombreuses extensions avec et autour de la CFAO dentaire dès 1973 (par exemple pour le Workflow ou le cône-beam). On trouvera en particulier, si nous essayons de les résumer rapidement :
(Ce chapître n’existait pas sur mon site de 2009, mais j’ai jugé nécessaire de le rajouter, car de nombreuses erreurs sont commises dans les publications)
a – Le système Hennson, (appelé aussi système Duret – nom industriel en label mark) fut le premier système de CFAO dentaire mis sur le marché (entre 1986 et 1987), le Cerec 1 qui n’était pas un système de CFAO fut vendu au même moment (ref n°45, 63 , 70, 123 )
b – Le Système Hennson était destiné aux Cabinets dentaires comme aux Laboratoires (il existait deux versions)( ref n°45, 63 , 70, 123 )
c – Le système Hennson a inventé le Workflow et il se déclinait sous 3 grandes configurations, pour cabinet (chairside), pour laboratoire et en partie en cabinet et en partie en laboratoire. Pour s’en convaincre, il suffit de lire ma thèse de 1973 (chapitre ordinateur) et surtout les publications 45 (1982), 63 (1985), 70 (1986) en Europe, 123 pour les USA et 153 pour le Japon.
C’est l’un de mes axes de recherche favori. Travaillé avec mes amis F. Jourdan, J. P. Toubol, et Ch. Georget en France puis aux USA (les 50 références soulignées ont conduit à :
a – La première modélisation des contacts occlusaux dès 1981 puis des mouvements occlusaux en 1983 (CFAO 4D) grâce au logiciel Euclid de Matra Datavision (ref 54, 62 et 100 ou 101)
b – En 1984 nous présentions le premier articulateur modélisé avec réglage des déterminants antérieurs et postérieurs dans lequel nous positionnions nos modèles (ref 54, 81,95,100 et 123)
c – Ceci sera suivi en 1987 de proposer deux types d’occlusions dans la bibliothèque de dents théoriques et notre logiciel de modélisation Hennson (Gnathologique et fonctionnaliste) (Ref 100-101, 129 et 130 )
d – Et en 1988 à l’Access Articulator, le 1er articulateur 3D réellement connecté à la CFAO en 1991 pour modeler les surfaces occlusales dont deux prototypes ont été réalisés par la société Hennson. (n°151 pour le métal)
Ce ne fut pas l’objet précis de mon travail jusqu’à ce que je rentre dans la société DIA (avec le Drs Preston, Daftary et Bahat). Nous avons procédé à la modélisation de quelques implants et au développement de l’usinage d’une fausse racine après extraction (article n° 54 et 55).
a – Ce travail a pris de l’importance au travers des systèmes de corrélation brevetés et mis au point en 1988 puis 1992 (ref n° 121-122 et 156-157) utilisés dans le système Hennson
b – … et finalement mes brevets en 2014 et 2015 (ref n° 331 et 340) sur la réalité augmentée, véritable représentation des cabinets du XXie siècle lui ont donné une deuxième jeunesse.
Après avoir développé avec la société Spad et des amis de Lyon en 1978 l’Eugé-spad (ref n°19 et 24) , je me suis lancé dans les matériaux pour CFAO.
a – En 1982 avec mon Oncle Bernard Duret, Mr Mm Granier et R Bossière, ce fut dans la conception puis la fabrication de « l’Aristée » le premier matériau composite hétérogène 3D multidirectionnel structuré (ref n° 78, 88 et 136) en 3D pour la CFAO. (n° 136)
b – Puis en 1984 nous nous sommes tournés vers la Zircone (nous pensons être les premiers à avoir fait une couronne en Zircone en 1984) avant d’utiliser Dycor, l’Empress et autres Cérestore. J’ai continué ces travaux sur les céramiques avec GC et la Nipone Dentale University jusqu’en 2003 (ref 100, 154 et 270)
c – Ceci permet de rappeler à ceux qui affirment le contraire que Le système Hennson usinait les céramiques, les composites et le métal. Il fut aussi le premier système à usiner la Zircone.
Autour des 95-97, alors que j’étais aux USA, s’est développé un besoin important de la part des praticiens : les lampes à photo polymériser devenaient de plus en plus lentes et utilisaient une technologie vieille de 30 ans: la lampe halogène. On demandait aux confrères de polymériser durant plus de 60 à 90 secondes, ce qu’ils se refusaient de faire, et il en résultait une sous polymérisation des composites. Fort de cette observation avec Guy de Vreese, Bruno Pélissier et H Noui.
a – Nous avons développé la première lampe à polymérisation rapide, la lampe xénon-Plasma Apollo 95e (ref 179, 180, 183, 204) … (DMD.Remedent)
b – Nous avons ensuite, dans ma société SEDR, reporté cette technique sur les lampes à LED (s) e-light et miniLED (SEDR, Acteon ) (ref 229) connues comme leaders de la polymérisation dans le monde entier en 2002 et encore produite en 2022 !!
c – Paradoxalement toutes les lampes aujourd’hui proposent une polymérisation en moins de 10 secondes. Il est loin le temps où nous étions la honte de la faculté dentaire pour avoir proposé une polymérisation rapide avec nos lampes plasmatiques ! Ce travail, qui a coïncidé avec ma période de PDG d’une PME de quelque 20-30 employés, a été marqué par 70 publications (souvent primées).
Ils sont directement issus de nos travaux sur l’Aristée (composite multidirectionnel pour CFAO) et de l’imagination de mon oncle Bernard Duret. Beaucoup de gens l’oublient aujourd’hui tellement ils sont rentrés dans la pratique courante (ref 139,144 et 145).
a – Nous avons inventé les premiers tenons multifibrés à fibre de carbone de première génération avec Marc, Pierre Luc Reynaud et son ingénieur Q Chu de RTD. Très novateurs, ils ont détrôné en moins de 10 ans tous les tenons métalliques. Ils ont fait l’objet de nombreuses copies et publications dont seulement quelques-unes sont citées ici. Vous trouverez 36 références.
b – Après le premier « composipost » noir, on intégra les fibres de verre de l’Aristée pour créer une succession de modèles de plus en plus sophistiqués transparents ou de couleur blanche permettant une parfaite intégration esthétique.
Elle a été développée avec la SA Bertin et mon ami de toujours Jean Michel Decaudin (et son ingénieur Y Dordet) pour parfaire l’esthétique dans la construction des reconstitutions de CFAO avant de devenir un appareil à part entière (shade-Scan) dont l’IHM a été copiée et recopiée sans que nous soyons cités.
Pour vous en convaincre, je vous demanderai d’aller sur la vidéo d’Aix Marseille (1986) et de Chicago Mid Winter (1989). Je n’ai pas d’autres commentaires ….
Il s’agit d’une invention (2002-2004) qui m’a permis d’utiliser mes connaissances en biochimie, physique moléculaire et dentisterie (20 références). Elle aurait dû ouvrir une nouvelle voie dans les techniques de blanchiment dentaire si un confrère français malveillant n’en avait pas décidé autrement par jalousie.
a – Il s’agit de l’invention de la technique de blanchiment actif, la seule à ma connaissance, que mon ami Francis Diéras baptisa astucieusement (comme toujours) chromophorèse. Depuis plus de 300 ans, le blanchiment des dents est un acte passif, à savoir : le peroxyde d’hydrogène est déposé sur la dent et l’on espère qu’il y pénétrera. M’étant rendu compte que cette molécule de peroxyde est à la fois chargée et a un faible encombrement stérique, j’en ai déduit qu’il était possible de la faire pénétrer activement dans la dent en créant un champ électrophorétique (et de faire ressortir les molécules n’ayant pas réagi et dangereuses pour la pulpe en inversant le champ) (ref 265 et 282 et 2 thèses)
Cette idée m’était déjà venue au moment de ma thèse d’état en médecine, qui utilisait la technique électrophorétique salivaire.
b – Elle sera sans doute commercialisée hors de France grâce à ce confrère … malveillant.
Le premier RVG dentaire a été imaginé à Strasbourg en 1980.
Lors de nos travaux de lancement d’une nouvelle série expérimentale sur l’empreinte optique à Strasbourg, dans le laboratoire CNRS des professeurs Meyruis et Grosman, avec C Termoz et mon épouse :
a – Nous avons réalisé les premières radios X connues en utilisant un CCD dès 1980. Elles ont fait l’objet d’une présentation à Toulouse, dans le cadre du congrès IRIES en avril 1982 (ref 30 -page 75-76 et ref 39 et 40) .À partir de 1983 Francis Mouyens a su développer brillamment ce concept, mais il n’était pas le premier. En effet si vous lisez ma thèse (empreinte secondaire au chapitre 9), mon brevet sur le procédé de saisie de la forme d’organe humain de 1983 (ref 50) et mes carnets Soleau (ref 14 et 30) vous trouverez dans le texte et surtout la revendication 7, la description du RVG avant l’heure.
b – Par amitié, cela existe en affaire et entre inventeurs, le 17 septembre 1983 (voir lettre Soleau à la ref 14), j’ai décidé de laisser Francis développer la radio numérique endobuccale (qu’il appellera plus tard le RVG) et d’en prendre la paternité. À la différence du blanchiment, je ne le regrette pas, bien au contraire, car c’est un homme bien.
Aujourd’hui, avec l’infection du Covid 19, ils deviennent précurseurs. Ils avaient d’ailleurs été salués par le premier prix national de recherche à Paris (1982) sous la présidence du grand Professeur Robert Frank ex-président de l’Internationale Académie for Dental Research (IADR) et doyen de Strasbourg. Ils ont marqué les dix premières années (1970-1980) de ma vie de jeune chercheur avant que je sois exclu de la faculté dentaire de Lyon pour « dispersion ». En dehors de la CFAO, ce sont des travaux en chimie et en physiologie, bases de ma formation à la faculté des Sciences.
Ces travaux portent essentiellement sur (28 références):
a – sur la variation du métabolisme moléculaire des cellules buccales en cultures (adényl-cyclase …fluor… phosphocalcique) à l’approche d’agents infectieux comme les virus de l’hépatite ou de la grippe (hôpital militaire – CRSSA – Lyon durant 5 ans).
Elle est d’actualité avec la Covid 19.
Il est à signaler que très tôt, à partir de mes cellules originellement conjonctives, j’ai obtenu un début de tissu épithélial avec desmosomes
b – Sur la chimie des matériaux (composites , EugeSpad …) qui conduira finalement à mes travaux sur l’Aristée, les tenons fibrés et bien entendu la polymérisation rapide.
c – Mes travaux sur la mise au point d’une nouvelle méthode d’analyse salivaire automatique par électrophorèse me permirent des diagnostics précoces en cas d’apparition des maladies de Crohn ou de la Rectocolite hémorragique (thèse de à la faculté de Médecine, Service de gastro-entérologie des hôpitaux de Lyon et de Tours). Cette thèse me permettra d’inventer 20 ans plus tard la méthode de blanchiment active ou chromophorèse.
En mariant mes travaux sur l’adenyl Cyclase et ma thèse de médecine/BH, je pense avoir aidé l’idée des diagnostics précoces endobuccaux ayant pour support l’analyse des composants salivaires
Mon activité d’inventeur s’est appliquée dans des domaines assez variés que vous trouverez dans ce chapître. (7 références)
Citons par ordre d’apparition:
a – Une carte de crédit avec mémoire de l’empreinte digitale pour éviter les codes
b – Un procédé de scellement et comblement réversible avec V. Legal pour permettre un descellement plus facile des prothèses, des braquets d’ODF ou des traitements canalaires. Ceci nous a entraînés vers l’étude des matériaux supraconducteurs.
c – Un procédé d’aspiration faisant, en même temps, tourner les turbines afin d’éliminer les aspirations chirurgicales et de refroidir la cavité.
d – Un procédé permettant d’utiliser l’empreinte optique avec H Noui afin de faciliter les diagnostics de surdité et de réaliser des prothèses sur mesure.
e – Un procédé d’anesthésie locale avec H. Noui basée sur l’effet Pelletier.