Académicien (ANCD) Docteur d’État (Médecine/BH)
DDS, DSO-PhD1, BsH, MS, MD-PhD2,
De nombreuses photos et illustrations sont à votre disposition dans la boite à image accessible à tous sur la page Contact
Pour répondre aux demandes qui me sont faites régulièrement, il m’est apparu plus simple de réactualiser mon site WEB personnel de 2009 dédié à mes travaux. Chacun pourra puiser librement les informations qu’il souhaite et qui peuvent lui être utile.
La Science appartenant à tous, c’est avec un très grand plaisir et avec honneur que je vous laisse libre de copier, recopier et photographier … ce vous voulez, mais … soyez assez aimable au nom de notre éthique scientifique, de ne pas oublier l’auteur !
Ces interrogations ou ces demandes de documents provenant de nombreux pays dans le monde, vous les trouverez en français et souvent traduites en anglais (ou vice versa).
«Chirurgien-dentiste, docteur en medecine/biologie-humaine et biochimiste français, clinicien, professeur des Universités et industriel, lauréat entre autres du Prix Schweitzer (en 2018)»
« Partageant mon temps entre sport et passion pour la paléontologie, c’est en pensant devenir professeur de géologie à la Faculté des Sciences de Dijon que ma vie va basculer en 1967 suite à la rencontre avec ma professeure de Chimie G Watelle. Grâce à elle je découvre la physique quantique et la relativité restreinte. Ce monde d’Einstein, de Schrödinger, de Planck et autre Eisenberg va me pousser à construire et considérer autrement les bases de ce qui sera notre nouvelle dentisterie.
Apres Dijon, poursuite des études supérieures à Lyon puis à Tours. C’est à cette époque que je rencontre mon épouse Elisabeth, Docteur en Ch. Dentaire, qui me soutient depuis 50 ans et avec qui nous aurons 3 enfants (Fabien Véronique et Jonathan).
Commence alors une période très complexe menant de front des études scientifiques et dentaires. Ce double cursus a conduit à fusionner mes pensées sur la thermodynamique des systèmes quantiques et la nécessaire numérisation des informations sur lesquelles travaillent les dentistes. Dès Noël 1970 j’ai eu la certitude que c’était la voie à suivre pour ouvrir notre métier à la physique du monde moderne : elle sera décrite dans ma thèse intitulée « empreinte optique » en 1973. La nouvelle dentisterie était née sans que je m’en rende vraiment compte. Il faudra attendre 1985, c’est-à-dire 15 ans, pour que je la démontre, cela je ne l’avais pas prévu …
Diplôme de chirurgien-dentiste en poche j’ouvre un cabinet dentaire à la campagne et commence des études de médecine en section de recherche en gastro-entérologie (Biologie Humaine). Ces études me conduiront à un doctorat et surtout à collaborer avec deux professeurs très importants dans ma vie : J. Dumas et J. Thouvenot. À la faculté de Sciences, le premier m’initie dès 1969 au Laser puis à l’holographie alors que le second en faculté de Médecine guide mes premiers pas dans les traitements d’images, la CAO et les techniques d’usinage.
En 1976 souhaitant intégrer l’université, j’obtiens le poste d’Assistant Professeur de Biochimie et entreprends des recherches en virologie (récompensées par un premier prix national de recherche en 1980) sans abandonner mes développements en Intelligence Artificielle. Ainsi pour digitaliser le monde dentaire, ces travaux passeront de l’interférométrie Laser aux rayonnements non cohérents Moiré et mes modélisations par points aux surfaces de Bézier. Ces recherches me vaudront d’être exclu de l’université de Lyon en 1980 pour « dispersion ». Cette liberté acquise bien involontairement va me permettre de me consacrer totalement aux travaux commencés en 1970.
… arrive alors la grande période « Hennson » et des inventions (1980-1993) :
En 1980 la possibilité d’utiliser les premiers CCD Thomson (fabriqués à 30 km de mon cabinet dentaire) m’ouvre la voie de la mise au point du premier Intra Oral Scanner (IOS) décrit à Tours en 1976. Je constitue une petite équipe qui deviendra la société Hennson autour de JP Hennequin, G Déchelette et JL Blouin.
Pendant cette période, au cours de congrès, nous présentons les premiers appareils de CFAO dentaire connus au monde : sous forme de maquette fonctionnelle entre 1982 et 1984 puis de vrais prototypes. Avec ce système nous avons été capables de réaliser en public et en direct, au congrès parisien de l’ADF de 1985, la première couronne au monde par empreinte optique et Intelligence artificielle/CFAO dans la bouche de mon épouse. Cette prothèse sera conçue et fabriquée avec le premier scanner intrabuccal IOS multivues connu à lumière structurée par phase profilométrie, une modélisation volumique Euclid de Matra Datavison et un usinage à l’aide d’une machine multi-outils spécialement conçue pour la dentisterie par Kuhlmann puis la SA Lambert.
C’est cette étape capitale qui me fera déclarer en congrès « je n’ai pas honte de dire que j’ai inventé cette technologie, car après l’avoir décrite en 1970, comme tout scientifique doit le faire, je l’ai démontré aujourd’hui et surtout en public (en 1985) ». Cette période sera suivie de la production d’environ 80 appareils (entre 1986 et 1993) dont 61 seront vendus.
Viendront en même temps et ensuite une multitude de mes inventions toujours utilisées aujourd’hui : les premières RX CCD-RVG numériques (1982-84) le premier articulateur et arc facial virtuel afin d’ajuster parfaitement et en dynamique l’occlusion à ces prothèses numériques (1984-89), les premiers composites hétérogènes structurés 3D reproduisant la structure dentaire (1986) qui conduiront aux premiers tenons fibrés en carbone puis en fibre de verre (avec mon oncle Bernard et RTD), les premiers logiciels pour les inlays et les bridges en occlusion (1984-88), les prothèses adjointes par fabrication additive ou encore les traitements d’orthodontie (1989). Les premiers implants sont modélisés avec les dents à tenon (1989) et les coiffes titane à la fin des années 80 (1990-93). À cela il y a lieu de rajouter les travaux pour analyser automatiquement la couleur des dents (1987) développés avec JM Decaudin conduisant à une nouvelle méthode de maquillage des prothèses (1989) qui sera reprise par des japonais.
… suivie du désert de la solitude puis de La renaissance (1994-2008) :
Devenu professeur aux USA en 1989, la disparition en 1994 de la société Hennson/Sopha qui développait et finançait mes travaux sonna le glas de la suprématie française dans le monde de la dentisterie numérique. Ce fut une période de désert et de solitude de plus de 5 ans. Durant ces difficiles années, j’ai pu contribuer au développement d’un 3e système au Japon (le GN1 de GC, Hitachi et Nikon) où j’ai enseigné et d’un autre au Canada.
En France je crée ma propre société de recherche en 1994 (SED puis SEDR) sur la base d’une de mes nouvelles inventions : mise au point de la première polymérisation rapide Plama/LED (un très gros succès mondial), faisant passer la prise des composites en bouche de 80 secondes à 8 secondes. Ce produit me rapprocha du leader français de l’époque, Acteon, et permit le développement d’une méthode innovante de blanchiment active des dents (2004-2008)
Le retour à l’Empreinte Optique (2008-2022)
En 2009 je décide de relancer mes travaux, jamais vraiment arrêtés, sur l’empreinte optique et donne entre autres des cours sur le sujet à Montpellier depuis 1999. C’est ainsi que le premier scanner intrabuccal (IOS) Condor stéréoscopique sans lumière structurée dérivé des technologies spatiales toulousaines (CNES) fut présenté avec V Querbes en 2015. Cette nouvelle génération d’appareil allait changer le monde des scanners intra-buccaux.
Les années 2020 constitueront l’aboutissement de ces travaux grâce à ma belle-fille Aurore Duret-Fournier. Ils sont en passe de voir enfin le fameux porte- empreinte optique (IOT) d’Invi’sart, élément incontournable de la numérisation des données dentaires. Cette étape ultime supprime définitivement l’utilisation de toutes les pâtes d’empreinte et fait rentrer totalement la dentisterie dans le monde moderne tel que décrit dans ma thèse de 1970, 52 ans plus tôt. »
1- La première page de ce site s’ouvre sur le journal télévisé de 20 heures, le 30 novembre 1985.
Ensuite vous trouverez les 4 thèmes classiques d’un site Web pour ceux qui veulent me connaître vite.
a – Une première partie réservée aux Curriculum Vitae (CV) court (1 pages) et classique (2 pages)
b – Une deuxième partie, un résumé de mes travaux :
. Un résumé en 5 pages de mon activité d’inventeur en Intelligence Artificielle Médicale
. Un tableau des dates les plus représentatives
. Une sélection des 24 publications puis 12 publications représentatives
c – Une troisième partie, réservée à mes relations confraternelles et privées :
. Mes 12 interviews les plus engagées
. Un listing des hommages de mes confrères (Prix, Présidences, sociétés et comités de lecture)
d – La dernière présente ma carrière universitaire, hospitalière et de dentiste de campagne
2 – La deuxième partie présente mes inventions de manière plus vivante:
a – Évidemment ma thèse de 1973 en Français (photocopie de la version originale soutenue) et sa traduction en anglais.
b – Un commentaire en une vingtaine de pages l’actualisant et expliquant le fondement et le contexte de sa rédaction.
c – Un descriptif rapide, en 5 pages, de mes brevets.
d – Une présentation complète de chaque brevet déposé (1980 – 2018).
Dessins importants de la thèse (DDS) de 1973
3 – La troisième partie présentant mes 356 publications de manière:
a – Chronologique de 1973 à 2021.
b – Suivant 12 thèmes allant de la CFAO aux Infections virales en passant par la polymérisation rapide, les matériaux ou l’occlusion.
c – Spécifique pour les livres et les thèses auxquels j’ai participé.
d – Sélective, faisant ressortir 66 puis 28 et enfin 12 publications qui me paraissent intéressantes, représentatives ou incontournables.
4 – La quatrième partie se rapporte à mes 536 conférences listées ici:
a – On retrouve évidemment le listing chronologique de ces 536 conférences faites dans le monde entier.
b – Plus intéressante est la partie vidéo où vous pourrez voir, comme à l’époque, ce que furent mes présentations les plus importantes. C’est un témoignage très important, car il prouve la réalité des travaux que nous menions. Nous sommes loin des beaux articles incontrôlables : c’est sur le vif. Le mensonge y est impossible.
5 – La cinquième partie est un listing de 800 articles de Presse sur mon travail.
a – Pour chaque période, vous avez un petit commentaire pour rappeler le contexte dans lequel était le journaliste.
b – Les 800 articles sont ceux que j’ai pu identifier. Il y en a eu beaucoup plus, en particulier à l’étranger où je n’avais pas de correspondant.
c – Abonné à Academia depuis février 2020, j’ai pu noter que je suis cité nommément dans environ 300 publications par an dans les revues scientifiques listées dans leurs références.
6 – Enfin la dernière partie donne la référence qui vous permet de me joindre.
a – Pour des raisons de tranquillité, vous n’y trouverez que mon adresse postale et géographique en France.
b – Ceux qui me connaissent, possèdent mon adresse mail, voire même mon téléphone.