Thèse de 1973
Ma thèse « empreinte Optique » sous toutes ses formes
Cette page n’est consacrée qu’à ma thèse de 1973 « empreinte Optique » :
Ref. bibliographique à utiliser :
Duret, F. Empreinte Optique.(UER) Faculté Odontologie. Université Claude Bernard. Lyon (France) thèse 2e cycle n° 231, pp 288, 76 fig. 308 biblio.ref. 1973-74.
Ou
ww.francoisduret.com
Il me semble juste utile de préciser un point souvent oublié:
C’est en décembre 1970 que me vient l’idée que la « digitalisation du monde dentaire » est seule solution possible pour résoudre l’imprécision récurrente à cette époque de toutes les méthodes utilisées en médecine. J’ai aussi la certitude que l’on peut y appliquer l’Intelligence Artificielle selon Alan Turing grâce aux ordinateurs et à leurs programmes.
C’est pour cela que j’ai appelé ma thèse « empreinte Optique » signifiant « grâce à cette porte incontournable, la digitalisation nous permettra de rentrer dans le monde numérique avec toute sa puissance et quel qu’en soit les moyens »
Pour vous en convaincre je vous encourage à lire la fin du chapitre 1 (pages 48 à 71) car j’y explique que c’est dans la thermodynamique des systèmes en physique fondamentale que je pense avoir trouvé l’explication et la solution à tous nos problèmes.
Ce n’est pas, comme je le lis trop souvent, en transférant (à 22 ans !) des systèmes industriels que m’est venu cette idée (appareils qui d’ailleurs n’existaient pas encore comme par exemple internet, les clouds …).
Vous avez donc dans cette page successivement en appuyant sur l’un des 5 boutons :
1 – Ma thèse « empreinte Optique » de 1973. Ce document, considéré par beaucoup comme fondateur, est très exactement l’exemplaire scanné que j’ai utilisé pendant ma soutenance avec ses fautes, ses dessins candides et ses phrases remplies de toute l’audace d’un homme de 22 ans encore plein de conviction.
2 – Cette même thèse traduite en Anglais.
3 – Certains documents officiels l’ayant accompagnés, avant, pendant et après la soutenance (entre 1969 et 1976).
4 – Une série de dessins importants extraits de cette thèse auquel j’ai apporté des commentaires récents lors de ma conférence à Genève en 2020.
5 – Enfin un résumé/analyse actualisé en 2021 réduisant à une vingtaine de page les 300 pages aujourd’hui bien fastidieuses à lire.
